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Indiens d'Amérique | Amérindiens | Dix-neuvième siècle | Peinture | Danses indiennes d'Amérique | Gravure | Karl Bodmer (1809-1893) | Lithographie française | Littérature | Paris (France) | Lettres fictives | Photographie | George Sand (1804-1876) | Flûte | Flûte droite | Légendes indiennes d'Amérique | Textes | Instruments à vent | Instruments de musique | Musique | ...
Danse du chien par un guerrier indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b946eb-danse-du-chien-par-un-guerrier-indien-

Danse du chien par un guerrier indien

PEHRISKA-RUHPA, guerrier Moennitarri (Hidatsa) portant le costume de la danse du chien, par Karl Bodmer (1809-1893). Maximilian Alexander Phil Wied-Neuwied, Voyage dans l’intérieur de l’Amérique du Nord exécuté pendant les années 1832, 1833 et 1834, planches de Karl Bodmer, édition Arthus Bertrand, 1840-1843.

Danse du scalp des Minitarres. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b92876-danse-du-scalp-des-minitarres

Danse du scalp des Minitarres

Danse du scalp de la tribu des Minitarres, par Karl Bodmer (1809-1893). Maximilian Alexander Phil Wied-Neuwied, Voyage dans l’intérieur de l’Amérique du Nord exécuté pendant les années 1832, 1833 et 1834, planches de Karl Bodmer, édition Arthus Bertrand, 1840-1843.

Danse rituelle des indiens sur l'oppidum de Secotam. Source : http://data.abuledu.org/URI/52665fd6-danse-rituelle-des-indiens-sur-l-oppidum-de-secotam

Danse rituelle des indiens sur l'oppidum de Secotam

Danse rituelle des indigènes sur l'oppidum de Secotam en North Carolina, aquarelle de John White en 1585.

Danses et célébrations avant le jeu de crosse en 1834. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356b631-danses-et-celebrations-avant-le-jeu-de-crosse-en-1834

Danses et célébrations avant le jeu de crosse en 1834

Danses et célébrations avant le jeu de crosse, 1834, par George Catlin (1796-1872). Des rites d'avant-match étaient organisés, semblables aux rites liés à la guerre. Les joueurs se maquillaient avec de la peinture et du charbon de bois et se dotaient de différents objets qu'ils portaient sur eux, symbolisant leurs qualités. Un sorcier les préparait et exécutait des rites. Par ailleurs, la veille d'un match, différentes manifestations prenaient place, comme des cérémonies dansantes où les joueurs étaient costumés. Il y avait aussi des sacrifices, ainsi que des cris pour intimider les adversaires. Le jour du match, les équipes avançaient dans les champs tout en poursuivant les rites prodigués par leurs sorciers, certains joueurs ayant même des traces des cérémonies sur leurs bras ou leurs torses. Avant le début de la rencontre, les joueurs tenaient des paris, engageant des couteaux, des chevaux voire leurs femmes et leurs enfants, la mise était ensuite remportée par le vainqueur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crosse_%28sport%29

Relation d’un voyage chez les Sauvages de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7a408-relation-d-un-voyage-chez-les-sauvages-de-paris

Relation d’un voyage chez les Sauvages de Paris

Première "Lettre à un ami" de George Sand, racontant en 1846 à la première personne sa visite à une exposition de peintures et d'objets sur la vie quotidienne des indiens d'Amérique, suivie d'une représentation de danse de guerre par un groupe d'indiens, à Paris. (4608 mots)

Siyotanka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287213-siyotanka

Siyotanka indien

Le siyotanka - « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota - (Iroquois, Winnebagos, Ojibwés, Mandans, Hidatsas, Cris, Sioux. C'est une « flûte de courtoisie » à double conduit jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil. Une légende voudrait que c'est un pivert en creusant une branche de cèdre avec son bec qui a offert cet instrument à un jeune guerrier amoureux. Une autre légende hidatsa parle de « la squaw qui ne meure jamais » qui offrit cette flûte à son petit-fils et qu'elle confectionna dans la tige d'un tournesol avec sept trous représentant les mois de l'hiver. La représentation la plus ancienne de cet instrument est un pictogramme sur des rochers très connu appelé Kokopeli. Le siyotanka désigne aussi un sifflet sacré taillé dans un os d'aigle chez les Sioux.